Les membres du laboratoire

Direction de la recherche


  • PhD HDR, directeur de la recherche de l’EnsAD

    emmanuel.mahe@ensad.fr

    Emmanuel Mahé est docteur HDR en Sciences de l’Information et de la Communication. Il est actuellement directeur de la recherche de l’École des Arts Décoratifs – PSL, où il pilote les travaux de l’unité de recherche EnsadLab, pionnière dans son domaine. Il a cofondé le laboratoire "Sciences Arts Création Recherche" (SACRe, EA 7410) et le programme doctoral du même nom. Ce programme interdisciplinaire de l’université Paris Sciences et Lettres (PSL) réunit 122 chercheurs et doctorants issus des sept grandes écoles et conservatoires du Ministère de la Culture rattachés à PSL, et explore les croisements entre design, arts visuels, théâtre, cinéma, musique, danse et architecture.

    Spécialiste des interactions entre arts, design, sciences et technologies, Emmanuel Mahé est l’auteur de nombreuses publications scientifiques et contribue activement à la réflexion sur les pratiques créatives contemporaines. Il est membre associé du programme LABS, porté par Leonardo / The International Society for the Arts, Sciences and Technologies, et siège dans plusieurs instances scientifiques et de pilotage : IndEx ICCA (Université Paris Cité), EUR ArTec (Paris 8, Nanterre) et Carnot Cognition (CNRS).

    Intervenant et évaluateur régulier dans des colloques internationaux et auprès d’institutions culturelles et scientifiques, en France comme à l’étranger, il allie une expertise académique à une vision prospective de l’innovation. En 2023, il a présidé ISEA (International Symposium on Electronic Art), événement mondial de référence dédié aux arts et technologies, rassemblant plus de 1 200 chercheurs et créateurs issus de 70 pays. Avant de rejoindre PSL en 2012, il a été chercheur au sein des Orange Labs, puis responsable du pilotage des programmes d’innovation dans la culture au siège du Groupe France Télécom Orange.


  • Directrice adjointe de la recherche

    edith.buser@ensad.fr

    Edith Buser est depuis 2018 directrice adjointe de la recherche. Elle contribue à la structuration et au développement des activités et projets de recherche et de valorisation du laboratoire.

    Formée à l’histoire de l’art (EHESS), la médiation culturelle (ICART) et la sociologie (Université Paris Dauphine-PSL), elle a occupé pendant huit ans un poste d’adjointe au directeur au sein de différentes galeries et centres d’art contemporain parisiens. En 2001 elle décide de changer d’environnement et intègre l’Université Paris-Dauphine-PSL où elle occupe le premier poste de chargée de mission valorisation, accompagnant les chercheurs dans la mise en place de leurs partenariats de recherche et représente l'Université dans plusieurs réseaux (CURIE, Correspondants Europe des Universités). Très engagée dans la construction de PSL et la structuration de ses projets arts design sciences, elle est membre du Sénat Académique et du Comité Innovation et Entrepreneuriat de PSL.

Chargées de mission


  • Chargée de communication digitale EnsadLab

    Pauline Barthe est une spécialiste de la communication et du marketing culturel, passionnée par les évolutions actuelles des industries créatives et culturelles. Forte de plus de 12 ans d’expérience, elle se distingue par son expertise dans les domaines des cultures et technologies numériques, de la création digitale, des nouveaux médias et de l’art numérique contemporain. Elle collabore depuis plusieurs années avec des institutions prestigieuses, des festivals et des événements artistiques en Europe et au Canada, tels que l’École des Arts Décoratifs de Paris, MAPP_MTL, MUTEK, ELEKTRA, Printemps Numérique, l’Institut Français de Lisbonne, et le Symposium international sur l’art électronique – ISEA. Son approche met l’accent sur l’innovation et la promotion des échanges culturels à travers des projets transdisciplinaires qui allient technologie et art.


  • Chargée de mission projets de publicisation

    lucile.haute@ensad.fr

    Lucile Haute est artiste et chercheuse, associée à EnsadLab et titulaire à l’Université de Nîmes. Ses recherches plastiques et théoriques portent sur des formes hybrides de récit (texte, performance, installation et vidéo), sur le livre d’artiste et les éditions imprimées ou numériques. Elle étudie et incarne une certaine figure du cyborg contemporain, réalisant des performances à la lisière des espaces tangibles et numériques pour explorer ou faire le récit d’un monde stratifié, hybride.

    Elle a rejoint EnsadLab en 2010 en tant qu’étudiante-chercheuse pour trois ans. Après avoir soutenu sa thèse en arts plastiques en 2014, elle a été chargée de la valorisation de la recherche pour EnsadLab jusqu’en 2017. Associée au groupe Reflective Interaction, elle met en place une collection d’ouvrages hybrides qu’elle coordonne auprès de l’éditeur Art Book Magazine. Chaque essai, œuvre ou texte publié dans ce cadre fait l’objet d’expérimentations graphiques, typographiques, interactives, plastiques et esthétiques. En se proposant d’explorer les régimes de sensibilité du livre à l’ère de l’ubiquité numérique, cette démarche constitue une recherche en et par le design.

    lucilehaute.fr

    hyperfictions.org


  • Coordinatrice du projet éditorial .able, groupe de recherche Reflective Interaction

    contact@able-journal.org 

    Après une maîtrise en management de l’art et des industries culturelles et créatives à KEDGE Business School, Gwenaëlle Lallemand se spécialise en gestion de projets dans le domaine interdisciplinaire arts, sciences et sociétés.Elle travaille d’abord à EnsadLab pour la Chaire arts & sciences en tant qu’assistante communication, production et partenariats, notamment pour l’événement de lancement “Nous ne sommes pas le nombre que nous croyons être” (2017-2018).

    Elle rejoint ensuite ELEKTRA Montréal en tant qu’assistante de production pour la Biennale internationale d’art numérique (BIAN 2018) et chargée de projet pour le Marché international d’art numérique (MIAN 2018).Elle devient ensuite coordinatrice du réseau francilien arts-sciences “Exoplanète Terre” avant de rejoindre en 2020 la Chaire Arts & Sciences pour la coordination de la revue .able.

Chercheur.e.s permanent.e.s responsable des groupes de recherche et programmes transverses

  • Architecte, Responsable du groupe de recherche Designs, territoires

    marion.nielsen@ensad.fr

    Biographie à venir


  • Dr, anthropologue, coordonnatrice de la Plateforme Art Design Société

    francesca.cozzolino@ensad.fr

    Francesca Cozzolino est anthropologue, docteure de l’EHESS (2010), enseignante de sciences humaines et sociales à l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs (EnsAD), PSL Research University, Paris et a été membre scientifique de la Casa de Velázquez (Madrid) pour l’année 2023-2024. Chercheure à EnsadLab, laboratoire de recherche en art et design de l’EnsAD et membre affiliée au Laboratoire d’ethnologie et sociologie comparative (LESC-CNRS) de l’université de Paris Nanterre, elle est également associée au CEMCA (Centro de estudios mexicanos y centroamericanos) de Mexico.

    Depuis 2010 elle a réalisé plusieurs enquêtes dans le monde de l’art et du design et mené plusieurs missions de recherche en France et à l’étranger (Europe, Etats-Unis, Benin, Mozambique, Mexique) en se spécialisant dans l’ethnographie des pratiques artistiques et en développant ses recherches à la croisée de l’anthropologie de l’art, de la culture matérielle et des études décoloniales.

    Ses travaux défendent une anthropologie politique de l’art qui interroge les manières dont les acteurs d’une société, à partir des formes artistiques et des discours sur la création qu’ils produisent, génèrent une pensée politique et conçoivent leur propre avenir, particulièrement dans des contextes postcoloniaux.

    Depuis 2017, elle a entrepris une enquête de terrain au Mexique, où elle interroge les manières dont des pratiques de résistance par l’art se construisent par des allers-retours entre le Mexique et l’Europe ainsi que la façon dont ces dynamiques impliquent des processus de réécriture de l’histoire.

    Elle est membre du comité de rédaction des revues « Ateliers d’Anthropologie », « Polygraphe(s) » et « Quadernos de Arte y Antrhopologia » « Economia Creativa ».

    Elle a publié plusieurs chapitres d’ouvrages et articles scientifiques et elle contribue régulièrement à des revues d’art et de design ou des catalogues d’exposition. Elle collabore avec des artistes et designers  en mettant en œuvre des projets au croisement entre art et sciences sociales à forte dimension expérimentale et spéculative.


    Parmi ses publications : 

    Cozzolino, Francesca, Anne Bationo-Tillon, Sophie Krier et Nicolas Nova (éds), 2024, En quête d’images – Écritures sensibles en recherche-création (Paris, Les presses du réel).

    Francesca Cozzolino (dir.) 2020, La création à l’œuvre. Une enquête autour de l’exposition « Typoéticatrac. Les mots pour le faire »,Paris, Art Book Magazine.

    Francesca Cozzolino, 2017, Peindre pour agir. Muralisme et politique en Sardaigne, éd. Karthala, Paris.

    Francesca Cozzolino, César Cumbe, Béatrice Fraenkel, 2016, Les écritures urbaines de Maputo : lire, écrire, agir dans la rue, éd. Alcance, Maputo.

    Page personnelle : http://www.ensadlab.fr/fr/francesca-cozzolino/

    Sélection des publications : https://ensad-fr.academia.edu/FrancescaCozzolino

    Projets en cours : https://plateformeartdesignsociete.ensadlab.fr

Chercheur.e.s - Intervenant.e.s associé.e.s


  • Dr, designer, co-coordonnatrice du groupe de recherche Soft Matters

    aurelie.mosse@ensad.fr

    Aurélie Mosse, PhD, est une designer-chercheuse, professeure et consultante travaillant à l’intersection du design textile et matière, de l’architecture et des nouvelles technologies. Co-responsable du groupe de recherche Soft Matters à l'Ecole des Arts Décoratifs, sa recherche explore comment matériaux actifs, vivants, induits par des bactéries, peuvent informer des perspectives plus poétiques et résilientes d'habitation du monde.

    Elle est l'investigatrice principale du projet ImpressioVivo (2021-26) explorant l’impression 3D de matériaux bio-sourcés et co-fabriqués avec des bactéries dans une perspective de design circulaire, projet bénéficiant de la première subvention Jeune Chercheuse, Jeune Chercheur (JCJC) de l'Agence nationale de la recherche (ANR) attribuée à une école d'art et de design. Elle est également l'une des bénéficiaires du réseau doctoral SOFTWEAR (2022-2026) dédié aux actionneurs souples et leur intégration dans le textile. Membre du comité de pilotage du nouveau groupe d'intérêt spécial (SIG) de la Design Research Society (DRS) dédiée à la recherche textile interdisciplinaire, elle mène par ailleurs une réflexion sur les enjeux de transmission intergénérationnelle à partir de son héritage familial pluriel, incarnée notamment dans le livre L’accent fantôme et autres impressions séfarades (2023).

    http://www.softmatters.ensadlab.fr

    https://www.instagram.com/softmatters_ensadlab/

    ORCID https://orcid.org/0000-0003-3777-1055


  • Réalisatrice de films documentaires et conceptrice de dispositifs d’accompagnement de collectifs de travail à l’INRAE, Institut National de la Recherche pour l’Agriculture et l’Environnement - Plateforme « art, design et société ».

    maurin.coralie@gmail.com

    Biographie

Doctorant·es et prédoctorant·es


  • Groupe de recherche Reflective Interaction

    brice.ammar@ensad.fr

    Brice Ammar-Khodja est designer graphique, artiste-plasticien et doctorant. Son travail se situe à l’intersection des arts numériques, de la science des matériaux et des études sensorielles. Il poursuit actuellement une thèse dirigée en cotutelle entre l’Université Concordia à Montréal (Individualized Program) et EnsadLab (Reflective Interaction, programme SACRe). 

    Désireux d’établir de nouveaux rapports entre les formes « vivantes », son travail doctoral tend à faire dialoguer le comportement de la matière, les matériaux « incarnés » et les données urbaines dans le but d’explorer les enjeux symboliques, spatiaux, sensoriels et socio-environnementaux entre l’immatérialité des informations et leurs représentations sensibles. Pour cela, il inscrit sa recherche-création dans le contexte des « villes résilientes». Ainsi, il explore différents moyens matériels pour augmenter la perception des données liées à la qualité de l’environnement (qualité de l’air, variations de température et pollution sonore) afin de renforcer les rapports sensibles entre les citoyens et leurs milieux de vie.

    Brice Ammar-Khodja est affilié à EnsadLab (Paris) au sein du groupe de recherche Reflective Interaction (dir. Samuel Bianchini) et avec l’Université Concordia (Montréal) au sein du Speculative Life Biolab (dir. Alice Jarry), du Centre for Sensory Studies (dir. David Howes) et de la Concordia’s Canada Excellence Research Chair in Smart, Sustainable and Resilient Communities and Cities (dir. Ursula Eicker). Brice est également membre du reseau international de recherche-création Hexagram.

    Codirecteur de la revue typographie Pied de Mouche , Brice Ammar-Khodja est également impliqué dans la création d’ateliers et d’outils pédagogiques à destination du grand public.

    b-ak.com


  • Groupe de recherche Symbiose et Soft Matters

    natalia.baudoin@ensad.fr

    Natalia Baudoin est une designer bolivienne et vénézuélienne travaillant entre Paris et le sud de la France en lien avec l’Amérique Latine. Diplômée en conception de produits de l'École Nationale des Beaux-arts de Lyon, elle est aujourd'hui doctorante à l'EnsadLab, au sein du programme SACRe de l'Université PSL. Son travail focalise sur la façon dont le design peut valoriser l'artisanat traditionnel autochtone par son hybridation avec d'autres techniques et connaissances tout en respectant la cosmologie des artisans. En partenariat avec une banque solidaire, sa recherche envisage également le développement de services financiers adaptés aux besoins des communautés productives. Son travail a été exposé en Argentine, en France et en Espagne.

    https://www.nataliabaudoin.com/


  • Groupe de recherche  Symbiose

    audrey.brugnoli@ensad.fr

    Initialement formée en 2013 aux Beaux-Arts (Institut Supérieur des Arts, Toulouse), Audrey Brugnoli poursuit ses études à Paris en 2016 dans la section Design Objet (Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs, Paris). Parallèlement à son diplôme, elle amorce un travail entrepreneurial dans un incubateur (PSL-Pépite, Paris) et participe à des résidences avec le collectif Lacarott (Marrakech Art Fair).

    En 2018, elle rejoint le groupe de recherche Symbiose, matériaux complexes, humains et environnement (Ensadlab, Paris) où elle développe depuis 2020 une thèse SACRe (PSL, Research University) dans le domaine du design et de la santé.  Ses travaux sont régulièrement exposés lors d’événements (Triennale Design Milan, Design Week…)

    Adoptant une posture à double facette : à la fois artiste et designer, sa pratique s’articule essentiellement à la frontière liant le corps à la technologie. Elle combine la narration (anthropologie) avec la science (technique) pour créer des œuvres, des artefacts et des dispositifs sur la manière dont les technologies affectent les humains et leurs comportements.  Après une réflexion sur le corps et ses frontières (Mémoire) et une recherche plastique sur les possibilités et nouvelles implications de la biologie synthétique et des algorithmes dans l’étude du vivant (Projet de fin d’étude), elle s’intéresse aux stratégies mises en place pour faire face aux conditions humaines, spécifiquement lorsque la technologie pénètre le corps pour s’hybrider avec lui.

    Au sein du groupe de recherche Symbiose, elle s’investit sur l’implication des peaux artificielles dans le domaine de la santé, notamment dans le cas de maladies génétiques rares de la peau, en étroite collaboration avec l’Hôpital Necker Enfants Malades (Paris) et l’Institut de Recherche Imagine (Paris). Elle obtient dès 2019 une bourse Innogrant afin de rejoindre le programme mené par Christine Bodemer (Centre Expert MAGEC). Ce programme prenant la forme d’une étude pilote de 2 ans, a pour objectif de développer de nouvelles solutions thérapeutiques associées aux méthodes du design.

    contact : audrey.brugnoli@ensad.fr
    site web : foxdesignlab.fr


  • Groupe de recherche Symbiose

    lucile.cornet@ensad.fr

    Lucile CORNET RICHARD est doctorante – designer d’espaces, formée à L’École supérieure des arts appliqués Duperré puis à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris, en architecture intérieure. Elle entame en 2020 un travail de recherche practice-based à l’ENSADLab, laboratoire de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris. Dans le cadre de son doctorat, Lucile CORNET–RICHARD étudie la manière dont des pratiques d’architectures (dessin, mouvement, écritures,…) peuvent questionner le rapport institution-territoire, au profit d’une pédagogie mésologique et réticulaire, et ainsi permettre une plus forte intégration des adolescents et adolescentes dans leur milieu de vie et de leur système scolaire. Le soin du lieu des savoirs (collège en l’occurrence) doit conduire à une attention à la convivialité, par la cohésion et l’appropriation de son milieu de vie. Cette thèse est intitulée : Adolescence, milieu urbain et architecture scolaire : le sol des collèges dans les pratiques pédagogiques” expérientielles en Seine Saint Denis” et est menée en contrat CIFRE avec la Direction de l’Education et de la Jeunesse en Seine Saint Denis, codirigée par Emmanuel MAHE chercheur HDR en sciences humaines et Soline NIVET chercheure HDR en architecture.

    https://www.instagram.com/lucilecornetrichard/

    contact : lucile.cornet@ensad.fr


  • Groupe de recherche Symbiose

    christian.pottgiesser@ensad.fr

    Christian Pottgiesser, architecte DPLG et membre du RIBA, vit et travaille à Paris. Né en 1965 en Allemagne, il obtient son diplôme d’architecte DPLG à l’École d’Architecture Paris-Villemin en 1991, suivi d’un DEA en philosophie à Paris 1 Panthéon-Sorbonne en 1995. Il ouvre sa première agence d’architecture en 1991 et cofonde Christian Pottgiesser Architecturepossibles en 2005.

    Il enseigne à l’ENSA Versailles en 2013, puis à l’ENSA Paris-Val de Seine de 2013 à 2019. Il participe également à l’Architectural Association Visiting School en 2016 et 2017. Actuellement, il est professeur associé à l’ENSA Paris-Malaquais.

    Sa thèse, menée dans le cadre de SACRe, explore les interactions et rétroactions entre la programmation architecturale critique et la fabrication matérielle. Elle propose une alternative à l’injonction d’Alberti, « Penser plutôt que faire », en valorisant une approche symétrique : « Faire – ou encore mieux fabriquer – pour penser ».


  • Groupe de recherche Spatial Media

    remi.sagot@ensad.fr

    Rémi Sagot-Duvauroux est monteur au cinéma et designer d’expérience de réalité virtuelle. Il commence en 2013 comme assistant sur Loulou, l’incroyable secret de Grégoire Solotareff et Éric Omond, La Tortue Rouge de Michael Dudok de Wit et La Fameuse Invasion des Ours en Sicile de Lorenzo Mattotti. Il travaille ensuite pour différentes séries d’animation pour le studio TeamTO. En 2019, il monte le film documentaire (52 minutes) Domba, la Goutte en or réalisé par Boubacar Coulibaly pour le Théâtre National de Chaillot. En 2020, il monte le film d’animation documentaire (90 minutes) Les Damnés de la Commune réalisé par Raphaël Meyssan diffusé sur Arte. En 2021, il monte le film d’animation documentaire (90 minutes) Le Parfum d’Irak réalisé par Léonard Cohen.

    Depuis octobre 2018, il a rejoint le groupe Spatial Media de l’EnsadLab, le laboratoire de recherche de l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris. Il y développe une démarche de Recherche-Création autour de la narration dans les expériences de réalité virtuelle. En octobre 2020, il intègre le programme doctoral SACRe (Science, Art, Création, Recherche) pour la réalisation de sa thèse « Le Corps-Monteur » sous la co-direction de Rémi Ronfard, Guillaume Soulez et le co-encadrement de François Garnier.

    Sa pratique prend la forme de dispositifs expérimentaux tels que The Buster Experience et The Hitchcock Experience, d’installations telles queLe Cosmotrope (cocréé avec Loup Vuarnesson et Dionysis Zamplaras) présenté au festival Recto VRso 2022 de Laval etCailloux-Planètes présentée à la Gaîté Lyrique en novembre 2023 ou encore de spectacles vivants tels que Rythme(s) d’espaces(cocréé avec Vivianna Chiotini) présenté dans le cadre du symposium ISEA2023 et La Tisseuse d’Histoires (cocréée avec Lia Mchedlishvili et Loup Vuarnesson), présentée au Centre culturel du parc de Drancy en décembre 2022. 

    Par ailleurs, il enseigne et encadre des modules théoriques et pratiques autour de la création en réalité virtuelle dans divers établissements tels que l’Ecole des Arts Décoratifs, l’ENSTA Paris et l’Université Sorbonne Nouvelle Paris 3.

    https://remisagduv.com/


  • Groupe de recherche Reflective Interaction

    anna.schaeffner@ensad.fr

    Anna Schaeffner, est designer d’interaction et chercheuse. Après des études de design produit en France elle a obtenu un Bachelor (2018) et un Master (2021) en design d’interaction, à la Kunsthochschule Weissensee à Berlin où elle réside depuis 2015. Ses différentes expériences professionnelles à l’étranger ; à San Francisco ou Copenhagen, lui ont permis d’affiner sa pratique du design, autour de l’élaboration de nouvelles formes d’interactions hybrides, qui mêlent nouvelles technologies et préoccupations sociétales et environnementales. Aujourd’hui elle collabore sur de nombreux projets avec un studio de design berlinois, en parallèle Anna est inscrite en année pré-doctorale à EnsadLab, dans le groupe réflective interaction.
    Sa recherche porte sur la softrobotic, et le design de la déformation, comme vectrice de déplacement, comme capacité d’adaptation matérielle dynamique et d’expressivité. Par la pratique du design, elle explore la déformation pour tendre à d’autres formes de rapport entre objets robotisés et leurs environnements. 

    Site internet: anna-schaeffner.com


  • Groupe de recherche Soft Matter

    antoine.tour@ensad.fr

    Antoine Tour est doctorant financé par la Fondation Hermès au sein de Campus MAD, en préparation à EnsadLab (en cours). Direction : Jean-François Bassereau, Nunja Jamil.

    Diplômé de l'École des Arts Décoratifs de Paris (MA Design Objet), des Mines et de l'École Nationale Supérieure d'Art et de Design de Nancy (MSc Design et Matériaux), et de l'Université Sorbonne (MPhil Design, Arts, Médias avec Télécom Paris, MPhil Cinéma). Il commence sa recherche en 2021 en intégrant EnsadLab, le laboratoire de l'École des Arts Décoratifs, en tant que doctorant prédoctoral au sein du groupe de recherche Symbiosis. Il poursuit désormais sa recherche entre deux groupes : Soft Matters et Symbiosis.

    Il a travaillé pour Hermès au sein du studio de design, développant des vitrines, le studio Théophile Blandet (représenté par la galerie Fons Welters et la Functional Art Gallery), Anne-Marie Duguet (Professeure émérite en médias numériques, éditrice d'Anarchive), ainsi que pour AMA Productions (production cinématographique dirigée par Julien Féret).


  • Groupe de recherche Spatial Media

    axel.belin@ensad.fr

    Après un master d’études théâtrales à l’université Paris 3 – Sorbonne Nouvelle en 2020, Axel Belin a suivi un master EUR ArTeC aux universités de Nanterre et de Paris 8 en 2022. Passant d’une étude des figures christiques au théâtre à une exploration du divin avec l’usage de différents outils technologiques pour la scène contemporaine, il recherche depuis 2022 une interrelation entre l’art vivant et la réalité virtuelle que ce soit dans l’accomplissement de formes spectaculaires et immersives à destination d’un public (projet Intenfestive VR) ou bien dans des conceptions d’archives et d’exercices de théâtre en réalité virtuelle ( collaboration avec le laboratoire de recherche IPEM à Gand pour le projet de recherche POTA – Practising Odet’s Theater Archives). En octobre 2023, il intègre le groupe Spatial Media du laboratoire de recherche EnsadLab de l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs en tant que pré-doctorant avec un projet de recherche-création autour du travail de répétition de l’acteur en réalité virtuelle afin d’y définir des rapports symbiotiques entre interprètes et immersions en réalité virtuelle et comprendre quelles constructions d’environnements et d’interactions numériques peuvent se mettre en place. 

    Parallèlement, il poursuit son travail de comédien/ metteur en scène (Yaacobi et Leidental d’Hanokh Levin, La vie est un Songe de Calderon) et dans diverses productions théâtrales. Il collabore aussi avec certaines compagnies théâtrales pour réaliser les travaux numériques et technologies (mapping vidéos, projections 3D) de spectacles.


  • Groupe de recherche Reflective Interaction

    arthur.enguehard@ensad.fr

    Arthur Enguehard est originaire de Nantes, vit et travaille à Paris. Il a suivi des études en sciences de la planète au Département de géosciences de l’École normale supérieure – PSL (ENS) et à Sorbonnes Université. En parallèle de son parcours académique il s’engage comme animateur et éducateur auprès de publics spécialisés en métropole et en Guyane. Il cofonde en 2019 l’association « PePaSon : Pédagogies des Paysages Sonores » encourageant le développement d’un réseau francophone de partage de pratiques autour des balades sonores et formes de médiation de l’écoute. Il développe actuellement une thèse au sein du programme doctoral SACRe de l’Université PSL, au sein du groupe de recherche Reflective Interaction d’EnsadLab et du Département de géosciences de l’ENS, thèse intitulée : « Écouter la (T)erre : Hybridations arts sonores – géosciences, dispositifs de connaissance et sensibilisation à l’environnement ».

    Site Web : http://pepason.fr


  • Groupe de recherche Soft Matters et Reflective Interaction

    maude.guirault@ensad.fr

    Maude Guirault est diplômée de l'ESAD TALM Le Mans (2021) et de l'École des Arts Décoratifs de Paris (2023). Elle exerce en tant que designeuse computationnel, textile et matière.

    Son approche transdisciplinaire se déploie et se concrétise à travers plusieurs rôles. Actuellement en année pré-doctorale à EnsadLab, le laboratoire des Arts Décoratifs de Paris, elle fait partie du groupe de recherche Soft Matters. En parallèle, elle occupe le poste d’ingénieure et de manageuse de S.MART-Besançon, une plateforme technologique rattachée à l'Institut Femto-St, dédiée à la formation et à la Recherche.

    Son approche transdisciplinaire de Recherche practise-based se situe à la croisée de plusieurs domaines : textile, computationnel et robotique. Elle exploite la porosité existante, ou pouvant exister, entre ces univers pour établir un lien entre un corps sensible et son environnement. Ses recherches portent sur les relations entre savoir-faire traditionnels et nouvelles technologies, entre propriétés structurelles et esthétiques du matériau et enfin, entre programmation et comportement de la matière.

    ​Son travail est régulièrement présenté au cours d'ateliers, conférences et expositions collectives, tant lors d'événements nationaux qu'internationaux, lors de la Biennale de design de Londres ou au M+ Museum à Hong Kong.

    maudeguirault@gmail.com

    @maude_guirault


  • Groupe de recherche Symbiose

    sophie.larger@ensad.fr

    Sophie Larger explore des domaines variés allant de la recherche, l’installation artistique à la création d’objets pour l’habitat ou l’espace public, associant volontiers des interventions participatives. ​ ​L’attention et le soin sont au centre de ses préoccupations. Par une approche sensorielle, elle interroge nos habitudes et nos usages. Elle nous invite à nouerde nouvelles rencontres, de nouveaux liens.​ L’échange autorisant à ouvrir des frontières pour expérimenter et produire de nouvelles formes, elle s’associe volontiers à d’autres designers, artistes ou chorégraphes pour développer des projets de recherche interdisciplinaires créant des liens inattendus et singuliers.

    https://www.sophielarger.com/


  • Groupe de recherche Reflective Interaction

    guillemette.legrand@ensad.fr

    Guillemette Legrand utilise la machine-fiction pour explorer l’immatérialité des technologies de l’information et leur capacité à naturaliser des systèmes de croyance. Son travail artistique mobilise la connaissance algorithmique et son infrastructure, réimaginant leurs potentialités à travers des environnements incarnés (physiques et virtuels). Ses installations multimédias, environnements de jeu et présentations expérimentales ont été exposées dans des lieux internationaux, dont le V&A (Londres), le V2_ Lab (Rotterdam), et le Design Museum (Londres). En 2020, elle a lancé Spectral Plain, un projet visant à réajuster la relation entre la science et l’imaginaire terrestre. Actuellement doctorante à SACRe-PSL au sein du groupe Reflective Interaction d’EnsadLab, son projet doctoral Climate Cosmograms examine l’aspect cosmologique des images climatiques et leur impact sur les imaginaires politiques et socioculturels de la Terre. Elle étudie les littératies visuelles des systèmes technologiques et du design, en remettant en question les représentations climatiques actuelles et leur influence sur la gouvernance climatique. Par la recherche et la création, son projet explore des alternatives visuelles pour la simulation du climat et ses imaginaires.


  • Groupe de recherche Reflective interaction

    corentin.loubet@ensad.fr

    Diplômé d’un master en design objet et espace obtenue en 2020 à l’ESAD de Reims, Corentin s’intéresse tout d’abord à l’affection envers les objets, et plus précisément à la manière dont des objets dit « intelligents » stimulent des réactions émotionnelles particulières chez un utilisateur.

    En 2021, il intègre l’année pré-doctorale d’EnsadLab au sein du groupe de recherche Réflective Interaction. Peu à peu, il concentre son intérêt vers la notion de curiosité comme métaphore du processus de collecte de donnée réalisé par les assistants intelligents. Partant du constat que ce fonctionnement caché et parfois intrusif entraine une défiance ambiante à l’égard de ces dispositifs, il propose de s’interroger sur la façon dont un design d’objet et de comportement d’objet pourrait révéler ce processus, en vue de clarifier la relation que ces assistants virtuels entretiennent avec l’utilisateur.

    En parallèle de son pré-doctorat, Corentin co-fonde en 2021 le studio de design Bureau Commun au sein duquel il s’intéresse avec plusieurs créateurs à l’impact du numérique dans la société.

    https://www.instagram.com/corentinloubet/


  • Groupe de recherche Soft Matters

    lingxiao.luo@ensad.fr

    Lingxiao Luo est une designer spécialisée dans le tricot, une chercheuse en matériaux et une doctorante financée par les Actions Marie Skłodowska-Curie (MSCA-DN) au sein du réseau doctoral SOFTWEAR à EnsadLab. Elle est la fondatrice du Radical Fibre Lab et a collaboré avec des institutions académiques telles que le MIT Media Lab. Après avoir obtenu un diplôme de maîtrise en Knitwear Womenswear au Royal College of Art en 2018, Lingxiao a apporté des contributions significatives à l'industrie de la mode, collaborant avec des marques et des fabricants renommés. Son travail de design a attiré l'attention des médias et a été récompensé par des distinctions, comme le Golden Prize of Textile and Materials lors de l'IDA 2018. Fortement engagée dans une approche interdisciplinaire, Lingxiao vise à développer des solutions innovantes reliant l'industrie de la mode, la technologie et la durabilité.

    https://www.lingxiaoluo.com/


  • Groupe de recherche Soft Matters

    lou.ramage@ensad.fr

    Lou Ramage est designer-chercheuse textile basée à Paris. Diplomée de l’École des Arts Décoratifs en 2020, elle présente son projet Persistance, l’allongement de la durée d’usage par le développement de textiles aux états de surface évolutifs lors de la Paris Design Week à la galerie Joseph en septembre 2020 et durant l’exposition The Lost Graduation Show au Salon du mobilier à Milan en 2021. Elle poursuit aujourd’hui sa pratique à travers un projet de recherche soutenu par la Manufacture des Soieries Jean Roze, à Tours, au sein du groupe Soft Matters intégré à l’EnsadLab.

    lou.ramage@free.fr

    @lou.ramage


  • Plateforme « art, design et société » et Spatial Media

    eugenie.zuccarelli@ensad.fr

    Née à Paris en 1998 et après avoir grandi en Corse, Eugénie Zuccarelli est diplômée de l'Ensad depuis 2022 du département Design graphique et multimédia. Cet enseignement ainsi que la rédaction de son mémoire l’amènent vers une réflexion tournée vers l’image et ses supports, elle dirige ses recherches plastiques et théoriques entre imaginaire, évocation et matérialités de l’image. En parallèle, aux côtés de deux enseignants, Benjamin Delmotte et Paul Sztulman, elle a assuré la direction éditoriale du premier numéro de la revue papier de l'Ensad DÉCOR sous la direction d’Emmanuel Tibloux. La passion d'Eugénie pour le design et la créativité ne manquera pas de mener à des projets étonnants à l'avenir.

    https://www.instagram.com/eugeniezuc/


  • Professeure est chercheure en ergonomie associée à l’équipe Création, Conception, Compétences, Usages du laboratoire Paragraphe de l’Université Paris 8 et Professeure ordinaire à la Haute École Pédagogique de Lausanne. Co-responsable de l’axe 3 de la plateforme art, design et société.

    anne.bationo-tillon@hepl.ch

    Biographie


  • Photographe pour la plateforme art, design et société.

    Biographie

  • felix.vanneste@ensad.fr

    Félix Vanneste est chercheur en robotique et ingénieur spécialisé en robotique molle.
    Il a réalisé son doctorat à l’Inria, où il s’est concentré sur la simulation numérique de matériaux mésostructurés pour des systèmes robotiques souples.
    Il a également étudié l’ingénierie des systèmes embarqués à l’ISEN Lille.

    Il s’intéresse particulièrement à l’utilisation d’outils de simulation pour concevoir des systèmes flexibles performants et optimisés, qu’il concrétise grâce à des techniques de fabrication additive.
    Son travail fait le lien entre la modélisation numérique et le prototypage physique, alliant théorie et pratique.

    Il élargit actuellement ses horizons en rejoignant EnsadLab dans le cadre du programme PEPR O2R,
    où il explore les pratiques de design, les processus créatifs et les approches centrées sur l’humain.
    Son objectif est de mieux comprendre comment les systèmes peuvent être conçus par et pour les humains — à l’intersection de la technologie, du design et de la société.


  • Groupe de recherche  Symbiose

    marie.truffier@ensad.fr

    Marie Truffier est artiste, designeuse et agrégée de design. Diplômée de l’École des Arts Décoratifs – PSL en 2023 et formée à la recherche en design à l’ENS Paris-Saclay en tant que normalienne, elle rejoint en 2024 le groupe Symbiose d’EnsadLab.

    Depuis 2020, elle développe un travail de recherche-création autour des imaginaires associés aux microbes, présenté notamment dans la revue Décor (« Virus, le devenir trans- », 2023) et lors du colloque international New Challenges Induced by Microbiomes (CNRS, 2024). À travers la conception de dispositifs artistiques multisensoriels, son projet de thèse, Contaminations Affectives, cherchera à interroger le rôle de l’expérience affective dans la perception des dynamiques microbiennes.

    En parallèle de ses recherches, elle cofonde en 2023 le collectif La Plaine, un lieu de fictions où plasticien·nes et chercheur·es collaborent à la création de performances mêlant texte, image, décor et production sonore. Elle est également membre de Collectives, une association curatoriale située au croisement de l’art, du design et des sciences. Par ailleurs, elle écrit pour des artistes et a collaboré avec le Centre Pompidou-Metz dans le cadre de l’exposition Les Portes du possible. Art et Science-fiction (2023).

    https://www.instagram.com/marie.truffier/

  • Groupe de recherche  Spatial Media

    mana.shojaei@ensad.fr

    Mana Shojaei est une artiste-chercheuse, née à Téhéran, Iran. Diplômée d’un Master en recherche-création de l’École Universitaire de Recherche (EUR) ArTeC et d’une Licence en études théâtrales de Paris III – Sorbonne Nouvelle. En 2024, elle intègre ENSADLab en tant que candidate pré-doctorale au sein du groupe de recherche Spatial Media.


  • Groupe de recherche Plateforme Art, Design et société

    lola.loup@ensad.fr

    Lola Loup est artiste et designeuse textile et matériau. Diplômée de l’École Duperré, elle explore les techniques textiles traditionnelles (tapisserie) et la stabilisation de matériaux organiques (cheveux, peau de poisson). Son travail mêle surfaces et volumes dans des installations, sculptures, objets fictionnels et costumes.

    La collecte de matériaux issus de son environnement est au cœur de sa démarche. Son installation L’îlot vert a été nommée dans la catégorie Sculpture du Prix de la Fondation Andurand. Elle a enrichi sa pratique auprès des designers de l’Officina São João (São Paulo) et de l’artiste Salomé Chatriot (Fragil Ecosystème).

    Ses recherches à EnsadLab, au sein de la Plateforme Art, Design et Société, poursuivent cette exploration des matériaux et de leur mise en œuvre artistique.


  • Groupe de recherche  Soft Matters

    camille.fuzier@ensad.fr

    Camille Fuzier est ingénieure diplômée de l'ESPCI Paris et docteure en sciences des matériaux. Elle s'intéresse aux liens entre sciences et design des matériaux, et aux modalités de collaboration entre scientifiques, designers et artistes. Elle a effectué sa thèse et un premier post-doctorat au LCMCP - Laboratoire de Chimie de la Matière Condensée de Paris - en collaboration Cifre avec Hermès sur la fabrication de nouveaux matériaux biomimétiques pour l'industrie du cuir, et a intégré le groupe Soft Matters de l'EnsadLab en tant que post-doctorante en novembre 2024 pour travailler sur l'étude de la variabilité de teintures naturelles évolutives, en collaboration avec Lou Ramage. 


  • Dr, réalisateur, directeur du groupe de recherche Spatial Media

    francois.garnier@ensad.fr

    Biographie

  • Dr, architecte Groupe de recherche : Spatial Media

    f.sebregondi@ensad.fr

    Francesco Sebregondi est architecte et chercheur. Son travail explore les intersections de la violence, des médias et de la condition urbaine.

    Depuis 2021, il est le directeur/fondateur d’INDEX, une ONG/média d’investigation en sources ouvertes basée en France. Entre 2011 et 2020, il a été chercheur et coordinateur de projet chez Forensic Architecture, ainsi que co-éditeur de sa première publication collective « Forensis : The Architecture of Public Truth » (Sternberg Press, 2014). En 2019, il a obtenu son doctorat au Centre for Research Architecture, Goldsmiths, University of London, où ses recherches ont examiné l’architecture du blocus de Gaza. Ses écrits ont été publiés dans des revues telles que AOC, Architectural Review, Multitudes, Volume, Footprint ou City, ainsi que dans plusieurs volumes édités.